“Pour le conseiller national Pierre-Alain Fridez, coprésident du comité jurassien, trois raisons ne laissent pas d’autre choix que de soutenir la stratégie énergétique 2050: la sortie du nucléaire décidée par Berne, la réduction des gaz à effet de serre voulue par les accords de Paris ainsi que la dépendance à l’égard des énergies fossiles qui coûtent un bras à la Suisse. ”
Source: Le Quotidien jurassien, 3 mai 2017